DANCING PLAGUE – Création chorégraphique au Trioletto – 10 et 11 avril

Dancing Plague

de Noémie Petit Gille – La Soif Compagnie

Dancing Plague c’est l’histoire d’une épidémie. D’une fièvre qui brûle les corps, Corps malades, souffrant de désespoir, Corps en perdition. La danse comme exutoire, La danse comme seul remède.
Le point de départ de cette création est une légende. Une épidémie de danse qui serait survenue en 1578 à Strasbourg. Dans un contexte de misère économique et sociale, une dame, Frau Toreffea, serait sortie de chez elle et se serait mise à Danser. Jusqu’à l’épuisement.
Cette légende est nimbée de mystère. Ici la danse n’est plus une célébration de la vie mais au contraire le symbole d’un groupe en perdition. La danse et la mort sont côte à côte, offrant un étonnant contraste.
L’idée de Dancing plague est de reproduire cette épidémie. Une fièvre dansante, certes, mais au caractère indéniablement moderne, ancrée dans le réel et qui rappellera au public qu’il s’agit ici d’une chorégraphie portée par une jeunesse. Une Jeunesse prise dans un contexte économique et social inquiétant qui bien que très différent, peu avoir un écho avec la crise que traversait les habitants de Strasbourg en 1518.

Chorégraphe : Noémie Petit Gille – La Soif Compagnie
Création sonore : Raphaël Delunsch – Ampur
Distribution : 
Remy Benjamin
Esfandiyari Mahnaz
Peycheva Svetla
Livshitz Angelica
Valéra Nadeije
Tobor Sarah
Peloux Lola
Pigout Maya-Luna
Gaillardot Emeline
Castan Romane
Rudolfová Johana
Bouhou Mila
Sautarel Clara
Crédits photos : @b.r.u.n.e
Remerciements : Elise Pillois – Charlotte Falhaut – Marina Brune